Avocat Gilles Pédron Commet Fraude
auprès d’une Assurance

 

Selon une récente découverte ahurissante, Gilles Pédron (avocat angers) et Serge Legros de Legros Immobilier, se sont avérés conspirateurs dans une tentative réussie de fraude auprès de la compagnie d'assurance MAIF.

 

Le 9 Novembre, 1994 Gilles Pédron rapporte un sinistre s’étant produit le 25 Octobre, 1994 à sa compagnie d'assurance, MAIF. Ce sinistre est du à un dégât des eaux dans deux chambres à coucher et les toilettes dans une maison qu'il loue à l’indivision. Gilles Pédron prétend qu'une cheminée a développé des fuites d’eau pendant les fortes pluies. Les fuites proviendraient de fissures dans la cheminée.

 

Dans une lettre datée du 3 novembre, 1994 Serge Legros mentionne l'incident à Indivision. Dans cette lettre, Serge Legros prétend qu'il est nécessaire de retirer la cheminée. En effet, l'assurance de Gilles Pédron ne payerait pas la réparation des dégâts si la cause n’était pas supprimée. La lettre déclare que l'Indivision payera 1442,05 francs à la discrétion de M. Legros pour retirer la cheminée qui, d’après M. Legros, n'a aucune utilité.

 

Suite à une récente recherche, nous avons découvert des rapports contradictoires quant aux faits rapportes et des actions trompeuses. D'abord, l'assurance de Gilles Pédron est supposée ne pas être disposée à payer la réparation des dégâts (11501,00 francs) dans la maison qu'il loue jusqu'à ce que la cause du dégât soit enlevée. Enlevée, non réparé? Pourquoi est-ce que l'assurance de Gilles Pédron payerait pour un dégât des eaux dans une maison qu’il ne possède pas? En second lieu, une cheminée sans utilité! Pas tout à fait. Nous nous sommes enquis auprès de plusieurs architectes locaux quant au but possible d'une cheminée sur le toit de la maison et il nous a été dit que la cheminée était pour la ventilation entre le plafond intérieur et le toit aussi bien que les murs. Troisièmement, les dégâts des eaux selon les réclamations de Gilles Pédron apparaissent dans une chambre à coucher, sautent alors une pièce (la salle de bains) et se retrouvent dans les toilettes situées beaucoup plus loin de la cheminée. Une deuxième chambre à coucher sur le coin opposé de la maison est également affectée par le dégât des eaux. Il semblerait que l'itinéraire que l'eau a pris, une fois sous le toit et sur les plafonds, a eu son propre esprit. « L’eau intelligente » semble avoir défié les règles de pesanteur et géométrie. Quatrièmement, aucune mention de réparations au niveau des murs ou des plafonds n'est faite dans l'évaluation des réparations par rapport à d’éventuelles fissures. Devrait-on croire que l'eau a endommagé les murs sans points d'entrée? Si c'était un sinistre il est certain que quelques fissures ou autres moyens d'entrée doivent avoir existé pour permettre à une quantité désastreuse d’eau d'entrer à l’intérieur.

 

Il semblerait que, de nouveau, Gilles Pédron s’est occupé d’un travail auquel il excelle, à savoir une activité criminelle.

 

 

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