Culpabilité de Gilles Pedron Expliquée!

 

Gilles Pédron, comme précédemment mentionné, est avocat à Angers, France et a donc d'importantes responsabilités. Un avocat, par définition, est le représentant de ses clients, l'officier du système légal et un citoyen public ayant une responsabilité particulière pour maintenir la qualité de la justice. La conduite d'un avocat devrait répondre aux exigences de la loi, dans le service professionnel vis à vis de ses clients et dans ses affaires personnelles. Gilles Pédron est coupable pour avoir violé et abusé la confiance professionnelle et publique qui lui a été accordées. Nous allons examiner pourquoi ces accusations sont justifiées.

En décembre 1997, Gilles Pédron a informé l'indivision, propriétaire de la maison qu'il loue, que de nombreuses réparations étaient nécessaires dans la maison. En même temps, il mentionne qu'il voudrait acheter la maison mais à un prix réduit dû à l'état actuel. Un membre de l'indivision devient soupçonneux suite à l'offre de Gilles Pédron, parce qu'elle apparaît alors qu'il exige en même temps des réparations importantes à faire dans la maison. L'indivision avait été très diligente pour maintenir la maison dans de bonnes conditions. En effet, elle avait autorisé l'agence de gestion à assurer des réparations jusqu'à une somme généreuse, sans permission de l'indivision. Cela étant le cas, pourquoi tant de réparations importantes deviennent soudainement nécessaires, a été la pensée d'un membre curieux de l'indivision. Cette personne s'est chargée de visiter la propriété au mois de mai 1998.

Avant cette visite, Gilles Pédron est résolu à ce que l'indivision fasse les réparations quant il apprend que l'indivision n'est pas intéressée par une vente immédiate. Ses demandes sont excessives. Gilles Pédron se réfère à des évaluations de la plus haute qualité pour plusieurs pièces de la maison. Egalement il a insisté pour avoir des toits refaits sur un couple de hangars dans le jardin. A la deuxième demande pour que les réparations soient faites, l'indivision est consciente que certaines pièces de la maison ont été refaites (papiers peints et peinture) lorsque Gilles Pédron prend possession de la maison. Les autres pièces étaient en bon état. Durant la visite de la maison, sont observés sur les murs les taches et la saleté due à la fumée. Référez-vous aux images sur notre article de l'avocat corrompu.

Pendant ce temps, l'indivision reçoit des estimations contradictoires provenant de différentes sources quant à la valeur réelle de la propriété. L'offre de M. Pédron est de 550 mille francs. Une autre estimation par la société de gestion de la propriété (Legros Immobilier) indique une valeur de 600 mille francs. Une autre source propose 635 mille francs. Quand le membre de l'indivision venant visiter la maison arrive à Angers et sollicite une évaluation par l'agence Century 21, une valeur de 800 mille francs est donnée pour la maison, après une remise en ordre. De plus, l'agent immobilier fait savoir que la maison pourrait avoir une valeur considérablement plus grande si quelques ajouts et modernisations étaient mis en application. Il en réfère au voisinage qui peut supporter une valeur plus élevée car en fait une maison voisine s'est récemment vendue pour un million et 200 mille francs.

Des arrangements sont pris bien à l'avance auprès de l'agence de gestion (Legros Immobilier) pour visiter la propriété. Durant la réunion avec l'agence, l'indivision découvre d'autres anomalies. Des factures ont été approuvées par l'agence au nom de l'indivision pour certains travaux dans la maison. Cependant, d'après le contrat de location, une partie du travail exécuté était clairement de la responsabilité des locataires. Un document très important est manquant, l'état des lieux, qui décrit l'état de la propriété à l'entrée des locataires dans la maison. Il est également constaté que l'autorisation a été donnée aux locataires pour abattre un arbre adulte dans le jardin. Cependant aucune vérification n'a été faite de l'état dudit arbre par l'agence Legros Immobilier.

Directement après la réunion, Serge Legros accompagne le membre de l'indivision pour visiter la propriété où Gilles Pédron est présent. A distance de la rue, la vue est choquante. La décoloration sur la façade de la maison donne un aspect de maison laissée à l'abandon et à l'entrée du jardin le désordre est choquant. Des piles des débris sont dispersées le long du mur de jardin. On observe des buissons et des arbres morts. La voie d'accès de jardin et le bassin sont délabrés et difficiles à identifier.

En général la maison et le jardin environnant n'ont pas été maintenus et, en fait, présentent un aspect de non maintenance délibérée. Dans notre histoire initiale qui trace les grandes lignes et fournit les images de l'horreur qui a été trouvée, il est tout à fait clair que l'état de la maison ne reflète pas seulement un manque d'entretien. Évidemment les locataires n'ont pas entretenus la maison mais des choses telles que l'empilage délibéré des débris dans le jardin ou l'abandon des arbres et arbustes morts à l'endroit même où ils sont tombés, ajoutent aux soupçons préalables à savoir que les locataires ont des motifs plus secrets. D'autant plus qu'ils ont été informés à l'avance de la visite de l'indivision. D'autres abus, tel que l'entretien d'un système de chauffage installé peu de temps avant l'entrée des locataires dans la maison, sont découverts; ainsi que d'autres que nous n'avons pas l'autorisation de mentionner.

Peu après, le membre de l'indivision revient à la propriété pour rencontrer un entrepreneur afin d'évaluer le travail à faire sur le toit. Gilles Pédron est présent et demande si l'indivision va remplacer les toits des deux abris. Gilles Pédron est informé que les toits ne seront pas remplacés. En fait, il avait déjà été dit à Monsieur Legros, plusieurs mois auparavant, de faire détruire et retirer les toits; une demande qui n'a jamais été satisfaite. Gilles Pédron devient en colère et jure qu'il aura l'issue en question arrangée d'une autre manière.

Suite à l'horrible et triste visite de la propriété, l'indivision demande aux locataires de quitter les lieux et de remettre la maison en bon ordre. Gilles Pédron refuse en disant qu'il ne quittera jamais le navire. Son refus catégorique est accompagné de la forte promesse d'assigner l'indivision à la cour pour la forcer à sa volonté. Après tout, il est avocat avec du pouvoir, de la crédibilité et de l'estime au dessus des autres personnes. Actuellement, c'est toujours vrai.

Gilles Pédron a, très probablement, influencé l'expert désigné par la cour pour évaluer l'état actuel de la propriété. Naturellement le jardin ne présente plus l'aspect visible sur les photos compromettantes qui ont été prises durant la visite de l'indivision. De plus, d'une façon ou d'une autre, l'expert a été mis au courant des articles de La Chronique d'Angers et très probablement poussé à croire que Gilles Pédron est une victime innocente. Cependant l'expert dépasse les limites dans ses éloges de Gilles Pédron; en louant ses efforts soigneux d'entretien et en proposant des travaux afin d'agrémenter la maison d'équipements modernes et innovateurs, pour son embellissement.

Nous portons cette affaire à l'attention du public et posons quelques questions. Est-ce qu'un honnête homme ferait ce que Gilles Pédron a fait? Agirait-il comme Gilles Pédron a agi? Est-ce qu'un honnête homme n'essayerait pas de discuter les griefs en question au lieu d'agir comme une tête brûlée en allant directement au tribunal? Gilles Pédron n'a jamais essayé de discuter l'issue en question. En effet, Gilles Pédron a, à tout moment, agi comme étant supérieur et au-dessus de la loi. Gilles Pédron est un déshonneur pour le système légal de la France. Il a convaincu ses collègues et pairs que l'état de la propriété qu'il loue n'est rien de plus qu'un état d'usure normale et pour le prouver ne manque pas d'afficher une demeure soudainement mieux arrangée.

Gilles Pédron a été récemment défini comme un "bon père de famille" alors que ceci n'est pas en relation avec la situation actuelle. Il semblerait qu'une telle rhétorique ne soit rien d'autre qu'une tentative pour vêtir un loup avec le manteau d'un agneau. Ce qui est approprié est l'abus documenté de la propriété au moment de la visite. Le manque d'entretien observé est une violation claire du contrat de location. Comme indiqué dans ce contrat, l'indivision a le droit légal de terminer le contrat et d'inviter Gilles Pédron à évacuer les lieux. Gilles Pédron a été prié de partir et il a refusé. La question de la responsabilité du propriétaire quant aux travaux à entreprendre est, dans ce contexte, sans signification. L'attaque de Gilles Pédron contre l'indivision a été un écran de fumée pour tromper ses pairs et employeurs et les persuader de son innocence.

Le cas doit toujours être entendu par la cour de Saumur mais cependant Gilles Pédron est encore mécontent. Il est offensé que cette issue ait été rendue publique. Encore une fois, il a couru directement à la cour, cette fois contre l'indivision pour diffamation. Nous, à La Chronique d'Angers, ne le blâmons pas. Si nous étions des escrocs, la dernière chose que nous voudrions serait que le monde entier soit au courant de nos affaires illégales. En effet, le mode opératoire typique pour un individu coupable, une fois qu'il est découvert est de critiquer ses accusateurs, ce que fait Gilles Pédron.

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