Les Accusations

 

Gilles Pédron, (avocat angers) Avocat pour le cabinet Sultan-Collin-Barret, a violé la loi contractuelle française ainsi que son serment professionnel devant le barreau d'Angers. Monsieur Pédron et Mademoiselle Dominique Landreau ont, délibérément, laissé se détériorer la maison qui leur avait été louée par des propriétaires en indivision. Cet acte a été commis avec l'intention d'acquérir la propriété à un prix très réduit. Cependant, alors que des transactions d'achat avaient lieu, un membre de l'indivision est devenu suspicieux à cause d'inconsistance quant à la valeur de la maison. Ce membre de l'indivision a alors contacté l'agence Legros Immobilier qui gérait le bien indivisaire et a demandé à visiter la propriété. "Choquant" est le mot utilisé par la propriétaire à la vue de la maison héritée de ses parents et qu'elle possède en indivision avec son frère et sa soeur --- arbres morts gisant dans le jardin, croissance incontrôlée des arbustes, entassement de branches et herbes mortes à différents endroits, arbres adultes abattus (sans l'autorisation de l'indivision), mousse et lichens poussant sur l'auvent du toit, empilement de bois contre un mur d'ardoise limitant la propriété (qui, de ce fait, se déplace causant problème pour les structures adjacentes), etc. --- Ceci pour l'extérieur de la maison. A l'intérieur l'abus est encore plus évident --- Les papiers peints de la cuisine et de la salle de séjour sont recouverts d'une couche de crasse. Dans la cuisine, le papier peint est couvert de traînées jaunâtres, conséquence du tabagisme et des vapeurs de cuisine. Le papier peint d'une des chambres est recouvert de moisissures. Dans le couloir, une partie du mur a été endommagée et au même endroit des graffitis sont présents sur le papier peint. Le plafond de la cuisine est fissuré et le papier peint se décolle du fait de fissures au niveau de la cheminée de la cuisine, etc. --- Heureusement la prise de photos va permettre de documenter l'état déplorable de la maison et du jardin.

Après consultation entre les membres de l'indivision, il est décidé que l'aînée de la famille agira pour l'indivision. Elle informe Pédron /Landreau qu'ils ont violé les termes du contrat de location et demande aux locataires de remettre la propriété en état. Ceci est légal de part le contrat de location et la responsabilité des locataires. Egalement, il est de l'obligation des locataires, comme mentionné dans le contrat, de maintenir la propriété dans l'état où elle leur a été louée. A cause de la violation de contrat, il est possible pour les propriétaires de demander la rupture du contrat. Les locataires sont informés de leur violation de contrat par l'intermédiaire de Maître Hervé Lenoir, conseil de l'indivision.

A cette étape, l'issue devient très intéressante. Monsieur Pédron étant un jeune avocat en début de carrière à Angers, ne peut se permettre de porter l'issue à l'attention du barreau d'Angers et du public. Il attente un procès à l'indivision. Ses accusations envers l'indivision sont liées au refus de l'indivision de remplacer et réparer les objets de son abus. De plus, le procès est porté auprès du tribunal de Saumur pour détourner l'attention de la communauté angevine.

Une copie des parties du contrat de location est accessible sur ce site ainsi que les photos (avec commentaires) qui ont été prises lors de la visite de la maison, début Juin 1998. Suite au procès initié par les locataires, l'indivision a engagé des poursuites contre les locataires et a intenté un procès à l'agence de location (Legros Immobilier). A l'heure actuelle, le procès suit son cours et une expertise de la maison aura lieu le 16 Décembre au 13, rue Ernest Mottay à Angers. --- A suivre---

Alors que ces événements se déroulaient, il a été porté à l'attention de l'Editeur que les locataires ne sont pas coupables car leur comportement est en accord avec le comportement général des français dans les affaires. Il nous a été rapporté, par des sources respectables, que l'intérêt financier d'une personne peut justifier tout acte, même les actes frauduleux. En fait, toute personne n'essayant pas d'acquérir la propriété à un moindre prix et en utilisant tous les moyens possibles, serait mal considérée dans le contexte Français. Cependant, jusqu’où peut-on aller sans perdre le sens de la civilité?

Nous n'avons aucune raison de croire les dires mentionnés ci-dessus mais nous souhaitons questionner ces affirmations. Tout commentaire envoyé à l'Editeur, afin de clarifier cette issue, sera très apprécié. Tout commentaire sera maintenu confidentiel.

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